Le but du marketing est d’influencer le besoin des consommateurs, fidéliser les clients aux produits d’une entreprise. De ce fait, la publicité tient une place importante dans la gestion de l’entreprise. Pour réussir dans le marketing, l’image de l’entreprise joue un rôle important. Il faut choisir la bonne méthode. Une mauvaise publication pourrait anéantir tous les projets de l’entreprise. Pour éviter toute tentative de pénalité, il est impératif de les exécuter.
Les règles à suivre
Actuellement, la publicité permet au consommateur d’avoir l’impression qu’il a un bénéfice de réduction de prix. Cette méthode de réduction de prix permet de fidéliser le client. Par exemple, les opérations publicitaires de genre black friday sont des stratégies marketing pour vendre plus. Devant la loi, ce n’est pas légal de faire cette sorte de promotion, elle n’est pas vraiment permise. La réduction de prix lors d’une promotion comme le black friday est de moins de 1,5 %.
L’image, le logo, le produit doivent être uniques, l’incitation des autres concurrents n’est pas permise. Quand on lance un produit, on est censé afficher tous les composants sur l’emballage, surtout dans les produits alimentaires. Ces trois termes devront être mis au point. Les indications, les précautions d’utilisations, les allégations, il est interdit de se vanter des matières qui n’existent pas dans le produit et enfin la présentation, la présentation doit être relative au type de produit, sinon l’entreprise pourrait être intentée en justice pour publicité mensongère.
Les sanctions au droit de publicité
La publicité est soumise à des réglementations précises. Depuis les emballages jusqu’aux spots télévisés ou audiovisuels, ces stratégies marketing peuvent faire le bonheur d’une entreprise mais peuvent également constituer son talon d’Achille.La pratique d’une publicité de marketing trompeuse est un délit pénal. Ce délit est puni par la loi de deux ans de prison avec une amende de 300.000 €.
Si l’entreprise ne présente pas le suspect du délit, l’amende peut être tirée du chiffre d’affaires de l’entreprise. Cette amende pourrait atteindre jusqu’à 10 à 50 % du chiffre d’affaires de l’entreprise ou de la réalisation de la publicité annuelle. Les mauvaises réputations peuvent entraîner l’effondrement de l’entreprise, même s’il n’y a pas de sanction.